samedi 17 octobre 2015

Un mur / A wall


Petite tentation.
Entrez dans la galerie et découvrez les oeuvres de Michel Hébert et votre imaginaire sera mis en marche. Nostalgie et humour sont au rendez-vous...

Incentive.
Enter the Gallery and discover the work of artist Michel Hébert.  Here nostalgia and humor are at play hence your imagination will be set in motion...


«J'ai épousé une ombre» Œuvres de Michel Hébert à la Galerie Art Plus de Sutton.

lundi 12 octobre 2015

Michel Hébert / The Sherbrooke Record

Thanks Olivia Ranger-Enns for the review of Michel Hébert exhibition <<J'ai épousé une ombre>>.


© Olivia Ranger-Enns, review of Michel Hébert exhibition <<J'ai épousé une ombre>>.


Michel Hébert


Michel Hébert, du 1er octobre au 1er novembre, 2015

vendredi 2 octobre 2015

En octobre: «J'ai épousé une ombre» une exposition signée Michel Hébert

Artiste multidisciplinaire, Michel Hébert partage son temps en atelier entre la peinture, la photographie, la vidéo et la musique. Au Québec comme à l’étranger, son travail a été vu en galeries et autres centres d’artistes, dans différents festivals de films, mais aussi au théâtre où il a œuvré à titre de concepteur-scénographe et artiste de la vidéo. Depuis 2008, il enseigne la peinture, le dessin, la photo et les arts numériques au département d’arts visuels du Cégep de Saint-Hyacinthe.

«Ma démarche tourne essentiellement autour de la thématique de l'image récupérée et de la superposition. Que ce soit sous forme de (faux) bill-boards, affichant posters de film ou de publicité, collées les uns sur les autres et déchirées, d'images d'Épinal en transparence, comme les pages d'une encyclopédie ancienne, de scrap-book ou d’albums aux pages jaunies, le principe du papier déchiré et de superposition demeure le même, les effets de transparence et de palimpseste, d’accumulations d’images et d’objets de toutes sortes, etc. Mon travail propose une nouvelle lecture à partir d'associations fortuites d'idées et de symboles, d'images et de texte, sortes de cadavres exquis artificiels et aléatoires. Au final, sous d’épaisses couches de vernis, les images et les déchirures de papiers, en apparence pauvres et à moitié décomposées, semblent reprendre de leur lustre dans cette nouvelle composition.»
Michel Hébert




Réseau métropolitain  © Michel Hébert