Liz Davidson joue avec les mots et leurs formes.
Du haut de sa toile, elle dialogue avec l’art.
Elle jase, elle réagit, elle implore et elle insiste.
Liz Davidson connaît bien ce jeu de l’art et elle a saisi qu’après
chaque combat, la maitrise se manifeste plus solidement.
Maybe it's better that they don't understand. Liz Davidson© Huile sur panneau 24x48 pouces 1000$ |
De la série « Les histoires qu’on se raconte ».
On se raconte tous des histoires. Elles deviennent des
bruits de fond dans nos têtes. La colère, le questionnement ou l’argument
reviennent s’emparer de nos pensées. Bien qu’elle ne se qualifie pas de
conteuse traditionnelle, Liz Davidson choisit ses formes et ses lignes pour
créer une espèce de calligraphie qui répète les mots et les phrases qui demandent à être lu par les yeux du cœur et non à haute voix. C’est le rêve d’une dyslexique
d’écrire sans fautes d’orthographe.
From the series
“Stories I Tell Myself”
We all tell ourselves
stories; it’s like background noise in our heads. Sometime we’re mad, or trying
to figure something out, or my particular favourite trying to win an argument.
While I may not be a story teller in the traditional sense this was another way
to make stories visible using a collection of shapes and lines, a sort of
calligraphy, a repetition of words and phrases and the lovely knowing that they
can’t be read out loud, only with your eyes and heart. It’s a dyslexic’s dream
moment, no spelling mistakes.
Maybe if I didn't try so hard.©Liz Davidson. Huile sur panneau de bois. 24x48 pouces. 1000$ I have given up on words. ©Liz Davidson Huile sur panneau de bois. 48x24 pouces 1000$ |
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